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Réforme ??? Réflexions d'un religieux

Réforme ??? Réflexions d'un religieux

Réforme ??? 144 réflexions d'un religieux de Martinique

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Le mépris du taximètre au « Nom de Jésus »

 

Un homme, après avoir dévalisé une bijouterie, a choisi un taxi de passage ;

Portant sa précieuse valise, il imposa la direction en gardant son bagage.

Après avoir quitté la ville, ils s’engagèrent sur l’autoroute à vive allure ;

Son révolver au point, il cherchait une zone où il se perdrait dans la nature.

Le propriétaire de l’entreprise entre temps signala la disparition de ce chauffeur,

Comme pour un avion qui a perdu le contact avec la tour où sont les aiguilleurs.

Les hélicoptères de la police alertés, survolaient les routes sans les repérer ;

Après quelques centaines de kilomètres, juste avant un filtrage routier,

Le chauffeur profita pour réaliser quelques tonneaux sur le bas coté de la route ;

Après de grands fracas, la voiture s’immobilisa, ce qui alerta les agents du groupe.

Entourés d’hommes en armes, les deux passagers sortirent meurtris de la carcasse,

Mais le chauffeur « sauvé » dénonça son agresseur qui l’avait tenu sous sa menace.

Après leur arrestation, les policiers, emportèrent le décompte, le révolver et la valise.

Placé en garde à vue, le cambrioleur fut emprisonné, récupéré avec sa marchandise.

Après chaque cambriolage il disait « je suis sauvé », je ferai le tour du monde,

Et stockait dans sa cave les objets volés à des centaines de kilomètres à la ronde.

Son épouse était une des plus distinguées et ses deux fils étudiants en faculté.

Deux ans plus tard, il eu à comparaître pour plusieurs crimes et des bijoux volés ;

Les objets trouvés chez lui permirent à la justice d’identifier ses autres agressions.

Au grand étonnement des siens qui le vénéraient comme un père plein d’abnégation ;

Un ange dans sa contrée, courtois et plein d’humour, dévoué quand c’est nécessaire,

Il se faisait vampire, un tueur cagoulé sans scrupule qui emportait l’or des propriétaires.

Chargé, sourd au clic clac du taximètre, il ne tenait pas compte du droit des chauffeurs :

Salaire, consommation, risques de la profession, fatigue et stress de ce type de labeur.

Il s’appuyait sur son arme chargée pour les renvoyer à vide, sans parler de sa dette ;

Hors, la définition du droit des chauffeurs est surtout précisée par le taximètre.

Tout honnête citoyen voyageant reconnait ce droit, et s’en acquitte sans murmurer.

Un grabataire aveugle reconnait le droit des travailleurs qui viennent le soigner,

Et leur demande une déclaration légale des heures effectuées afin de les rémunérer.

Les chiens de garde reçoivent de la nourriture à satiété, sans obligation d’aboyer.

    Il existe cependant, des chefs religieux qui affirment être « nés de nouveau », (2 Tim 3)

Ils clament très fort que leur obédience et leur message viennent du Dieu Très Haut,

Mais ne tiennent compte pour les bénévoles ni : des heures, des charges familiales,

Des kilomètres parcourus pour la cause, des privations de celui qui est en chômage,

Des obligations des époux et épouses chargés de pourvoir aux besoins de leur foyer,

De l’usure des véhicules personnels consacrés au transport divers, et aux intéressés.

Tout est arbitrairement accepté sous l’influence de cette arme : « le Saint Nom de Jésus »

Si une carrière religieuse est un parcours de A à Z, le divin taximètre fixera les sommes dues.

Si le Christ colonial que proclament ces orateurs, leur permet de violer le droit du travailleur,

Arrivés au poste de contrôle, ces « sauvés » avec leur  butin seront face à un Dieu vengeur,

Qui dira : Malheur à celui qui a fait travailler son prochain sans lui donner de salaire. (Jér 22 :13)

Le vrai Seigneur, défenseurs des frustrés, celui qui est juste et droit, fera pour tous, l’inventaire ;

Il révélera le contenu de la valise, de la cave, et des coffres forts dissimulés sous la dalle. (Ez 28 :3-5)

Si la prédication du Nom de Jésus rapporte plus que le fouet des meurtriers sur le dos des esclaves,

C’est que : Stratégies, psychologie et théologie, s’associent pour réaliser des chiffres d’affaires.

Mais, le Dieu qui a créé l’homme et son cerveau, ne chiffrera t-il pas son avidité téméraire ?

Le taximètre des ordinateurs célestes, affichera devant la cours le total des profits malhonnêtes.

    Si depuis  l’Eden, le Nom de Dieu est associé aux meurtres et à toutes formes d’oppressions,

C’est par convoitise, fruit du mépris collectif du droit prescrit, comme obligatoire rémunération.

L’amour du prochain « bénévole » ne sera jamais une justice inférieure au principe du taximètre.

Le croyant juste est celui qui reconnait le droit, et dans la pratique se montre intègre. (Job 29 :14)

L’ordre divin à publier: Crie à plein gosier, ne te retiens pas, élève ta voix comme une trompette,

Et annonce à mon peuple ses iniquités… (Argent et biens obtenus par violation du droit), (Esa 58)

A la maison de Jacob ses péchés… (Car étant séduits, ils changeront les temps et la loi). (Dan 7 :25)

Si la justice et l’aumône sont la base de son trône, le profit injuste fera perdre la couronne. (2 Pier 2)

 

 

La justice et l’équité, un objectif céleste (Ps 97 : 2)

 

Jésus a invité des hommes intelligents à le suivre et vivre avec lui, trois ans et demi.

Certains, après le contact, auraient pu lui dire au revoir, retourner chez eux à tout moment,

Mettre fin à leur attachement pour reprendre leur liberté, leur profession,

La chaleur de leur vie familiale et religieuse, animée par des fêtes saisonnières.

Mais impossible, ils trouvaient en Jésus les perfections, disparues de la race humaine :

Son regard, ses paroles n’étaient pas des flatteries, mais la vérité agréable.

Chaque jour, les mystères et les interrogations de leur esprit étaient révélés.

Pierre pouvait retourner vers son épouse, apporter des vivres pour les siens,

Après quoi il retrouvait le groupe, heureux de continuer son stage et ses études.

Ils étaient convaincus, dès les premiers jours que Jésus lisait la pensée de tous les hommes,

Connaissait tout le mystère des émotions secrètes, et pouvait tout examiner et clarifier.

Sans aucun bien ni aucune richesse ou épargne, Jésus subvenait à leur besoin journalier.

La veille, il pouvait leur dire : Demain, mon père nous enverra de la nourriture…

A telle heure, vous recevrez le chargement du bourricot conduit par l’étranger…

Le passé et l’avenir étaient pour Jésus, un film connu sur des millions d’années.

Les Paroles prononcées par des prophètes depuis quatre mille ans, inconnues de tous,

Trouvaient leur accomplissement dans la programmation de son emploi de temps.

Jésus démasquait les ruses et les vols de Judas, sans toutefois le dévoiler publiquement.

Judas aimait Jésus pour sa confidentialité, mais il ne renonçait pas à sa secrète cupidité ;

Judas parvenait à la conclusion qu’il sort gagnant par l’augmentation de son épargne.

Pour les autres disciples, la responsabilité de gestionnaire du groupe confiée à Judas,

Lui attribuait une classification distinctive, une supériorité pastorale incomparable.

Par rapport à judas, ce trésorier comptable, tous se sentaient inférieurs... Hélas !

Mais la Grandeur et la gloire de Jésus se manifestaient par le principe de la sainte scène.

A chaque partage : repas, poisson, viande, fruits, argent, Jésus introduisait ce principe :

La répartition équitable vérifiée, avant de se servir en dernier, sans favoritisme.

Pour Jésus, son indignation se manifestait contre la gloutonnerie et les profitassions.

Une sainte équité et l’abnégation caractérisaient ses pensées, ses paroles et ses actes.

La puissance ensorcelante des libéralités financières n’avait aucun effet sur son esprit.

Par générosité, Dieu le Père fait don de son Fils en proposant ce modèle aux croyants.

Jésus dit : Je vous ai donné un exemple afin que vous fassiez comme moi j’ai fait.

Quelle puissance ? Transformer notre caractère de prédateur à l’image de son Fils !

De sorte que bientôt, le sceau du partage équitable soit apposé sur ceux qui croient.

Les religions avec leurs cargaisons de biens terrestres et leurs comptes bancaires,

Ont déshonoré le Nom de celui qui s’était fait homme pour donner, et non pour épargner ;

Au point que ceux qui prêchent se sentent obligés de dénoncer et renier toute obédience.

Ce qu’il faut à notre race perdue, c’est la justice dans le partage et l’équité dans la pensée.

Un Judas trésorier est une peste qui infecte toute doctrine ayant pour fin, l’épargne,

Alors que des millions d’êtres humains et leurs enfants meurent chaque jour de faim.

Il nous faut un Sauveur différent, capable de nous arracher de notre servitude amère,

Où des riches costumés déploient leur éloquence tout en exploitant les pauvres.

Il nous faut un Sauveur qui n’affute pas notre avidité de monnaie et des dons célestes,

Mais qui nous donne une équité dans la justice des rémunérations et dans le partage des biens.

Par la justice, si le bénévole a fait une heure d’activité, donnez lui de quoi acheter à manger…

Si le riche est heureux d’avoir trois repas, le bénévole soupire après du pain et de l’eau.

Celui qui est en Christ,(le vrai) est une nouvelle créature capable de pratiquer l’équité.

Les choses anciennes sont passées… La passion d’acquérir fait place à l’abnégation.

Le croyant reçoit le don de l’Esprit Saint pour administrer les biens, l’argent et les libéralités,

Comme le ferait son Maître qui, avant la croix a laissé son vêtement, seul bien aux romains,

Les violents pillards de la planète qui trouvaient leur jouissance dans la dépouille des peuples.

A la seconde résurrection, leur honte sera un gros butin, porté comme le petit d’un Kangourou.

Aujourd’hui, nous pouvons aspirer à cette justice dans les rémunérations des ouvriers de la vigne,

Cette équité salariale qui distingue le Dieu éternelle des gestionnaires avides de la terre.

Si le ciel ne peut apposer le sceau : « Justice et équité » sur chacune de nos acquisitions,

Notre vie chrétienne sera un rêve qui tourne au cauchemar des plus éprouvants.

Epargne- moi Seigneur, l’envoutement et la passion infernale de l’épargne !

A chaque nouvelle lune et à chaque Sabbat, je me prosternerai devant toi,

Recherchant le courage de vaincre les multiples tentations de la vie présente.

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 Pendant l’année où est restée fermée une petite maison de vacances,

Les thermites ont investi les lieux et se sont nourris des meubles en silence…

Le propriétaire retrouva des valeurs antiques, qui ne l’étaient qu’en apparence.

Ce principe infernal qui consiste à consommer simplement sans redevance,

Est le mystère de l’iniquité qui sera révélé à ceux qui recherchent la connaissance.

Quand Jésus a visité les siens dans ce pays religieux choisi pour sa naissance,

Il fut un bébé redouté, vendu par les prêtres chargés d’enseigner ses ordonnances.

Le judaïsme était jadis, une idéologie opposée à Dieu et à ses humaines observances.

La stratégie des ténèbres n’a pas variée, elles changent le bien en mal, associé à la violence.

Depuis, certaines institutions religieuses se sont multipliées et prospèrent hors de l’Alliance.

Plusieurs religions de la fin des temps sont de vraies prisons pour la conscience, (Mt 24 :5)

L’orateur nettoie les dehors de la coupe, mais au-dedans, il y a la rapine et l’intempérance.

En elles se trouvent de subtils dogmes et barbelés doctrinales, défiant le bon sens ;

Elles entretiennent leurs adhérents formatés dans la servitude et l’ignorance, (Mt 23)

Maintenus dans une crainte constante d’exclusion qui les réduit tous au silence.

L’univers regarde des enfants et adultes squelettiques menant une minable existence,

Où la mort sévit dans leur pays par l’appétit des loups qui ravissent leurs pitances.

De l’extérieur on voit la prospérité de leurs prédicateurs qui excellent en éloquence ;

Alors que laïcs, colporteurs et bénévoles n’ont pas droit aux miettes de l’abondance ;

Mais l’observateur attribut à ces philosophies une inhumanité qui produit la répugnance,

Car même en dépouillant, les cadres prétendent leur apporter une grande espérance,

Qui les consolera spirituellement tandis que leur population dépérit par des carences ;

Mais un jour, le Tout Puissant enverra le lion de la tribu de Judas pour la vengeance.

Car la justice universelle, à la fin, se lèvera contre les thermites, la rapine et l’arrogance,

Tous les dieux des thermites seront confondus par l’extraction de leurs sales finances ;

Les chiffres tirés des régions pauvres seront le butin qui prouve la bassesse de leur science.

N’y aura t-il pas une voix satellitaire capable d’appeler les prédicateurs à la repentance ?

Eux qui parlent audacieusement du Dieu Très Saint, comme le Dieu des délivrances,

Capable de briser l’envoûtement de la monnaie, responsable de la nationale déchéance.

La justice tiendra les profiteurs pour des assassins sans vergogne dans leur prestance,

Insensibles face aux maux : pauvreté, malnutrition, chaumage, maladies et souffrances.

Exaltés au dessus du Juge Suprême, ils prononcent des menaces et des sentences, (Jac 4 :12)

Mais dans les foyers en crise où la faim sévit, ils se distinguent par leur impuissance ;

S’ils se présentent ce sera avec de longues prières afin d’endormir les consciences, (Jud 11-19)

Persuadant les défavorisés qu’ils ont accès au divin Trône et peuvent demander audience.

Ici-bas ils appauvrissent, et fixent aux mortels le rendez-vous de la dernière chance,

La future, glorieuse rencontre sur la mer de verre, devant le trône de la Toute Puissance,

Où se retrouveront les dépouillés qui ont été intègres, justes et droit dans leur existence.

   Voici ! Après vingt années d’exercice comme trésorier d’un soussou appelé : « subsistance »,

Ce gestionnaire avait tous ses adhérents, devant la justice, qui réclamaient vengeance.

Il a trouvé la manipulation d’une virgule qui lui permettait de garder une partie des finances.

Mais l’expert comptable, en replaçant la virgule, révéla la malversation de sa gérance ;

En prison, il regrettait surtout que ses meilleurs amis aient dénoncé sa richesse et sa violence.

La destinée fit de ce bienfaiteur honoré de tous, un scélérat, disons : victime de la malchance.

Mes croyances doctrinales sont-elles celles des thermites dans une maison de vacances ?

Le trésorier ne pouvait plus restituer les fonds en vendant les acquisitions de sa jouissance,

Qui faisaient de lui un riche parmi les contribuables, abusés subtilement dans leurs redevances.

Hélas ! Le tribunal liquida ses biens et dédommagea ceux qui lui avaient accordé leur confiance.

    Avant l’étude de notre dossier, nous pouvons rétablir les comptes en toute transparence,

Il est écrit : Ne dépouille pas le pauvre parce qu’il est pauvre, et n’opprime pas le malheureux

A la porte ; Car l’Eternel défendra leur cause, et il ôtera la vie à ceux qui les ont dépouillés. (Pov 22 :22)

Maranatha ! Le Christ revient briser le joug sur les pauvres, dévorés par toute sorte de souffrances.

Les cieux publieront sa justice, contre l’usage des Saint Noms, proposés contre des finances. (Ps 50)

Oui, les ressources des pauvres stockés dans des coffres forts, responsables de la dégénérescence

Apaiseront l’enfer des affamés, quand viendront la droiture et la véritable repentance. (Esa 33 :15-20)

 

 

Métaphore d’un enfer expansif

 

 

 

Un missionnaire en Afrique, fit un séjour parmi les exilés de la sécheresse.

 

Ce sont des tribus qui ont tout perdu et doivent quitter les zones de détresse,

 

Se diriger vers des camps de concentration où la famine fait également rage.

 

De son appareil, le missionnaire photographia des victimes humaines de tout âge ;

 

Un spectacle émouvant, des bêtes mortes, des mourants parmi les vivants exténués.

 

Après son séjour, arrivé dans son district, il en fit une collection de cadres vitrés,

 

Et plaça à côté, un tronc pour les générosités de ceux qui fréquentent ces lieux.

 

Les supérieurs invitaient les enfants à solliciter partout des dons pour le bon Dieu.

 

Devant les photos, les petits donnaient les pièces reçues avec des larmes d’enfants ;

 

Tous animés de la conviction qu’ils offrent : tentes, eau, lait et pain aux mourants.

 

Les adultes émus, manifestaient leur générosité particulière en cette circonstance.

 

Les membres d’église sensibilisés gagnaient d’autres à cette œuvre de bienfaisance.

 

Chacun faisait tout ce qu’il pouvait pour trouver et sacrifier quelques billets ou pièces.

 

Une comptabilité informatique fut mise en place pour totaliser les constantes recettes ;

 

Certains enfants de l’église qui ont vidé leur tirelire priaient avec ferveur en disant ;

 

Seigneur ! J’ai tout donné, tu va les bénir, ils vont enfin pouvoir boire et manger !

 

A l’église, tous chantaient, donnez- donnez ! Donnez- donnez tous vos petits sous…

 

Pour les païens d’Afrique donnez les, Jésus les veux tous… Jésus les veux tous !

 

Ces photos ont touché les croyants et plusieurs ont manifesté une sainte générosité.

 

Mais hélas… Quelques temps plus tard, n’ayant plus de communication avec ce pays,

 

Le missionnaire réalise qu’il ne peut y retourner et acheta une couteuse voiture.

 

Il savait dans son cœur, que ses supérieurs ne le déplaceraient pas avant longtemps,

 

Qu’il n’avait aucun moyen de transmettre ces dons aux éventuelles associations inconnues,

 

Et même, dans ce pays si lointain, il ne chercherait pas à savoir comment faire.

 

Pour calmer sa conscience, il priait :

 

-          Mon seigneur Jésus! Papa doudou… Bon Père d’éternité… De toutes les façons,

 

Les survivants et les mourants ne savent pas que j’ai parlé d’eux à chaque sermon…

 

Ils ignorent que leur détresse m’a permis de recevoir ta grande bénédiction.

 

Depuis longtemps, je désirais avoir une voiture toute option donnée par le Seigneur !

 

Sans ce secours divin, je serais moi-même constamment exposé à tous les besoins !

 

Pour aller de lieu en lieu, vers les malades du secteur, il me fallait une bonne voiture…

 

Je sais que cela peut impressionner favorablement les misérables qui me voient arriver !

 

Seigneur ! Papa doudou ! Tu me pardonneras car tu es mort pour ce petit péché !

 

C’est toi qui m’as aidé à stimuler  la générosité presque inexistante de ce peuple élu !

 

Après tout… Seigneur, tu seras glorifié par le service que je fais nuit et jour pour toi !

 

Si un jour, tu me renvoie en Afrique, J’en ferai  de même avant de partir… Ainsi

 

Je réparerai cette omission involontaire par laquelle tu m’as béni… Ah…men… Ah… men

 

Dieu est bon… Allélu…ïa… Allélu…ïaJ’ai une bonne voiture pour le Seigneur ! Allélu…Ïa ! Allélu…Ïa !

 

Un jour, Seigneur… Je serai intègre… Oui par ta grâce seulement, je serai saint et parfait…

 

Fidèle… honnête comme j’aime à le dire dans mes sermons : Fidèle, juste et saint... Amen !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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 Zachée, se tenant devant le Seigneur, lui dit : Voici Seigneur, je donne aux pauvres

la moitié de mes biens, et si j’ai fait tort de quelque chose à quelqu’un, je lui rends

le quadruple. Jésus lui dit : Le salut est entré aujourd’hui dans cette maison,

par ce que celui-ci est aussi un enfant d’Abraham. (Luc 19 :1-10)

Avant le déluge, l’égoïsme avait modifié la race humaine à l’exception de Noé et les siens ;

Après le déluge, alors que l’esprit de conquête animait les pillards du genre humain,

Dieu a cherché et a trouvé un saint homme qui avait gardé l’intégrité de Noé : Abraham.

Sa générosité ne se limitait pas aux prescriptions des lois transmises d’âme à âme...

Prêt à obéir aux ordres et préceptes de Dieu, il ne s’attachait pas aux valeurs acquises,

Même au point d’offrir son fils Isaac sur l’autel, si Dieu maintenait son ordre impératif.

Il avait une foi qui prouvait une soumission totale aux lois et ordonnances du Créateur.

Sa droiture faisait de lui, pour des esclaves vendus par de cupides guerriers, un libérateur ;

Plus d’un millier d’êtres humains libérés recevaient de lui, nourriture, affection et liberté.

Quand Jésus parcourait le pays, il cherchait ceux qui bénéficiaient de cette hérédité ;

Mais hélas, en dehors de rares exceptions, les vertus d’en haut avaient disparues,

En conséquence, une multitude de mendiants réclamaient l’aumône dans les rues.

Jésus se déplaçait de lieux en lieux pour guérir, ressusciter et délier les misérables,

Tout en déplorant l’absence d’humanité chez des chefs religieux peu charitables,

Prêts à le dénoncer aux autorités Romaines ou à le lapider pour ses bonnes œuvres.

Mais, assis sur une branche, Jésus a trouvé les vertus d’Abraham dans ce petit homme ;

Il pouvait affirmer que, chassé du temple, radié du registre, il pratiquait l’aumône.

Sa religion ne consistait pas en cérémonies lucratives, rites et observances légalistes.

De même, Corneille, le centenier Romain qui nourrissait les affamés et les racistes ;

Hors des rites, ils avaient choisi d’être le bras de Dieu, portant le pain aux affamés.

Quand Dieu a espéré que l’histoire écrite de Zachée stimulerait la générosité,

Les érudits en ont fait une homélie par laquelle ils acquièrent : iniquités et prospérité.

Une, deux histoires saintes racontées avec émotion et le chiffre d’affaire est atteint ;

Deux mille ans de diffusion d’histoires et l’on dépouille même ceux qui ont faim.

Transporté en vision au grand jour du jugement, Daniel décrit ce qu’il voit :

Je regardais pendant que l’on plaçait des trônes. Et l’Ancien des jours s’assit.

Son vêtement était blanc comme la neige, et les cheveux de sa tête étaient comme

De la laine pure ; Son trône était comme des flammes de feu, et les roues comme un feu ardent.

Un fleuve de feu coulait et sortait devant lui. Mille milliers le servaient et dix mille

Millions se tenaient en sa présence. Les juges s’assirent et les livres furent ouverts. (Dan 7 :9-10)

Les juges de l’univers, visionnent le film de la vie des habitants de la terre,

Produisent un classement mondial, les brebis à droite, les boucs et leur butin à gauche.

Nos paroles immortalisées résonnent aux oreilles de dix mille millions d’anges ;

Nos mensonges et les profits chiffrés suscitent la sévérité du regard des juges.

Une comptabilité sans faille définie ce qu’était l’œuvre de chaque être humain ;

Le bien effectué par le bon samaritain, le méprisé de la religion, n’est pas vain ;

Les œuvres de Zachée, portant secrètement de la nourriture aux mendiants ;

Le chef militaire, Corneille, délégant des soldats pour nourrir les pauvres gens,

Veillant sur la justice de l’Alliance pour s’y conformer afin d’agir avec équité.

Là haut, toute œuvre humanitaire produit une musique en l’honneur du ressuscité.

  Aujourd’hui, nous sommes opprimés, souffrants, trompés, dépouillés et asservis,

Mais dans cette galère, le Christ, Juge des nations, nous propose une nouvelle vie ;

Son jury de dix mille millions d’anges, visionne les tyrannies qui nous assaillent.

Nous perdrons tout jusqu’à la mort, mais ce jury révélera les noirs profits de la bataille.

Dix mille millions nous observent et espèrent que nous répondrons au divin appel,

Car le ciel est la demeure des pauvres qui pratiquent la droiture et la justice éternelle.

Ce jury acclame les vainqueurs, quand des noms sont écrits dans le livre de vie. (Ap 3 :5)

Cet honneur est infiniment supérieur au butin gagné par les tyrans qui nous ont asservis.

L’immortalité sera la récompense des dépouillés qui sont intègres, justes et droits, (Ez 18)

C’est l’objectif du saint Esprit, de nous relever et nous sanctifier par la loi. (Heb 8 :10)

Dix mille millions d’anges visionnent le changement du cœur et applaudissent Jésus-Christ.

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Dans une séquence de film, un homme fuyait face à des cavaliers armés ;

En longeant une rivière dans la forêt, il ne trouvait nulle part où se cacher.

Placé face à un ours mort, couvert de mouches, il lui perça la poitrine…

Il avait juste une minute pour se camoufler avant les vengeurs du crime.

S’introduisant par les jambes dans les entrailles, en défiant la pestilence,

C’était la seule solution… Et elle lui semblait d’une extrême urgence…

Ses poursuivants passèrent près du cadavre en se bouchant le nez ;

Alors qu’il restait introuvable, tous s’éloignèrent de ces lieux empestés.

Quand, à la faveur de la nuit il sortira enfin des entrailles de la mort,

Comment survivra t-il aux germes pestilentiels introduis dans ses pores ?

Bien que ce soit du cinéma, science du mensonge identique à la vérité,

N’y a  t- il pas une similitude avec le capitalisme produit par avidité ?

Vu d’en haut, certaines richesses acquises qui corroborent la carrière,

Ne sont-elles pas au regard de la justice universelle un refuge similaire ?

Lorsque les morts, sur l’ordre de Dieu, revivront par la résurrection,

N‘auront t-ils pas les « bactéries » des valeurs acquises par leurs actions ? (Ap 21 :7-8)

Depuis l’altération du fonctionnement des neurones résultant du péché en Eden,

La loi des acquisitions est le mobile de la violence inscrite dans nos gènes.

Mais d’en haut, où règne toutes les perfections et une harmonie céleste,

Les juges observateurs, déplorent cette prospérité qui nous empeste.

De la planète montent sans cesse les cris d’angoisses des mourants,

A l’ouïe desquelles les âmes célestes interrogent le Tout Puissant :

Jusques à quand, Maître Saint et Véritable, tarderas-tu à juger,

Et à tirer vengeance de notre sang sur les habitants de la terre ? (Ap 6 : 10)

Il y a un temps pour gagner, et pour se retrouver face aux chiffres d’affaires.

Toute acquisition qui n’est pas le produit honnête des jours de labeur,

Ou qui s’est formée à partir de la violation du droit des travailleurs ; (Jér 22 :13)

Toute acquisition militaire qui est le produit de l’extermination des peuples,

Ou obtenue par l’oppression des sans-salaires ou des bénévoles rendus aveugles ;

Toute acquisition illégale résultant de la diffusion de croyances religieuses, (Jac 5 :1-6)

Ou reçue pour transfert mais gardée pour assurer une destinée pompeuse ;

Toute acquisition obtenue en utilisant Dieu comme valeur commerciale,

Ou toute injustice par laquelle sont exploités des travailleurs misérables ;

Toute prospérité où est exclu le droit du Christ héritier, Prémices du Père,

Egalement, toute valeurs terrestres dépourvues du droit humanitaire. (De 27 : 19)

Toute prospérité qui est le fruit de la tromperie dans les liens d’une séduction,

Où la position, et parfois la sorcellerie utilisées, pour parvenir à la corruption.

Ce berceau en or, qui est le confort des gens aisés, distingués de la cours,

Considéré après la résurrection, peut être semblable au cadavre de l’ours.

Le Créateur est riche, mais pour donner, partager, ici-bas ce qu’il possède ;

Son amour est cette détermination à pourvoir et se donner sans réserve.

Les richesses de la création prouvent que la terre est un véritable paradis,

Transformé en enfer par des gloutons qui séquestrent tout par ineptie.

Si une théologie place les bergers dans un confort contraire aux lois d’en haut,

Tout comme le fuyard dans l’ours, ceux-là faussent l’image du Très Haut,

Au point que le mot religion éveille une répugnance suivie de répulsion,

Et le chercheur se perd dans des comparaisons confirmées par la paupérisation.

Admirons certains riches qui n’ont connu qu’une religion, le partage de leurs biens…

Admirons le vrai Sauveur, humilié, mais glorifié dans la gloire qui est sa bonté. (Jn 1 : 14)

Contemplons celui que Dieu a honoré en lui donnant le pouvoir de ressusciter.

Confions-nous dans le Christ qui s’est lancé sur le marché… Et se laisse vendre ;

Remettons-lui notre destinée… Au ciel, il a invité : Hénoch, Elie, Moïse à le rejoindre.

Sortons du cadavre de l’ours, de la puanteur des acquisitions et lavons-nous…

Les coffres forts d’aujourd’hui seront une peste lors du céleste rendez-vous. (Ap 20 :11-15)

Christ est le seul à pouvoir nous purifier de l’envoutement de la sirène « acquisition ».

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J’ai vu sur Internet des photos contrastant la prospérité des peuples aisés,

En rapport avec la profonde misère et les tourments des peuples défavorisés.

Ce spectacle éveilla en moi, réflexions, interrogations et indignation :

Si la vie réelle de Jésus y figurait, serait il parmi les rebus de ces nations ?

Etant un chercheur biblique, je crois à la création d’un monde nouveau,

Où les êtres auront l’abondance, comme tous les herbivores d’un troupeau. (Esa 65 : 17)

Mais ici-bas, n’y aurait il pas un religieux sensible à ce profond désespoir ?

Ou un sensé qui ferait de cette œuvre de bienfaisance son premier devoir ?

Suis-je un missionnaire qui exploite ces misères parce que ça me rapporte gros ?

Ma religion, a-t-elle fait de moi un extracteur éloquent qui dépouille les dévots ?

Si j’étais un responsable des transferts de fonds, serais- je capable de transparence ?

Les chiffres reçus parviendraient-ils à destination avec une intégrité de conscience ?

Une nouvelle créature en Christ, est elle capable de frauder comme un vorace ?

Vont-ils tous mourir de faim parce que je suis un missionnaire cupide et rapace ?

Ma théologie envers les pauvres, est-elle favorable aux transferts de fonds ?

L’absence de confiance que j’inspire, privera t elle de vivres ces moribonds ?

Ais-je raison de croire en un « Jésus-Christ » qui dépouille les croyants affamés,

Qui pille les maigres ressources de ces territoires où périssent des défavorisés,

Afin d’engraisser les riches qui voyagent d’un pays à l’autre en première classe,

Sur des régions où les enfants meurent et les aînés rentrent bredouille de la chasse ?

Si Dieu comptait sur sa Parole pour former une nouvelle création de saints croyants,

Afin de compenser l’absence de politique sociale en faveur de ses pauvres enfants,

Quelle sera sa réaction devant le travail des logiciels célestes de comptabilité,

Qui totalisent : iniquités, gains, profits, acquisitions illégales, famine et mortalité,

Dégénérescence mentale, règne de l’immoralité, désespoir des chercheurs de salut,

Confusion entre les « dieux » avides des religieux, tous habilités à exploiter les perdus ?

Si chaque soupir, chaque larme, chaque gémissement qui sort de l’âme des mourants,

Déchirent l’espace comme une fusée qui fonce vers le trône du Tout Puissant…

Il y a à craindre que le Créateur, dans sa souffrance ne reste pas longtemps sourd…

A la vue de ses enfants squelettiques, il préparera les ruines qui précèdent son retour,

Composera son vin plein de mélange et la fera boire à ses cupides adversaires, (Ap 19 :15)

Qui auront retenu dans des coffres le pain, droit des pauvres, qui leur était nécessaire.

Après un incendie de palais, on voyait le corps des riches ayant un sourire de chacal,

Tous calcinés, on dirait qu’ils riaient de ne pouvoir quitter la pièce sécurisée du capital.

A la résurrection, ils auront les chiffres d’affaires, comme un cadavre puant fixé sur le dos ;

Car il y aura un jugement pour les justes et les injustes qui imposaient des fardeaux :

Contrats de travail inhumains, oppressifs, licenciements abusifs, menaces d’exclusion,

Esclavage moderne, salaires inexistants, rentabilité au Nom de Jésus, de toute vocation…

C’est très grave de tirer profit du patrimoine céleste et des Noms sacrés de la Divinité,

Afin de parvenir aux mêmes objectifs que les anges déchus qui épargnent par cupidité…

   Aujourd’hui ! Si je me considère comme une nouvelle créature, Que dois-je faire ?

Je peux pratiquer ce que Dieu propose : deux dixièmes de toute valeur pour l’œuvre sociale: Prémices et aumône.

Je peux m’unir aux amis croyants pour donner aux affamés une une offrande de prémices et une aumône légale ;

C’est la justice et la droiture qui distinguaient Abraham des loups- garous de la terre ; (Gen 18: 19)

C’est la miséricorde, mot, dont la racine veut dire soutient accordé à ceux qui sont dans la misère ;

C’est le bouclier qui protégeait David contre Saül et ses six milles soldats bien armés ;

C’est l’armure invisible de Daniel, jeté deux fois dans la fosse aux lions affamés ; (Tob, Daniel)

C’est une générosité perpétuelle que pratiquait Saint Paul, le géant de la foi ; (2 Cor 8 ; 9)

C’est un des vêtements de fin lin que Dieu destine aux débonnaires qui croient ; (Ap 19 :8)

C’est le vêtement de Job, habillé mais éprouvé par les méchants démons de l’enfer ; (Job 29 :14)

C’est la pratique perpétuelle de la justice et l’équité que propose Dieu à son peuple prospère ;

C’est le bien recommandé par le prophète Esaïe à Israël, peuple jadis condamné ; (Esa 58)

C’est la gloire du Fils unique, venu du père, gloire que nous avons contemplé ; (Jean 1 :14)

C’est le bras de l’intégrité qui est le respect du droit prescrit en faveur des affamés.

Cette pratique diminuerait les gémissements des éprouvés qui s’élèvent vers Dieu.

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